vaut mieux la fin d une chose que son commencement

JacquesChirac, ancien président de la République française, répondant à la question d’un journaliste, disait en Novembre 2016 : « On oublie seulement une chose : c’est qu’une grande partie de l’argent de notre porte-monnaie vient précisément de l’exploitation, depuis des siècles, de l’Afrique, pas uniquement, mais beaucoup vient de l’exploitation de SignéEcclésiaste 7.8, est le verset suivant "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". C'est exactement la pensée qui me vient en pensant à mon stage, achevé TikTokvideo from kindelabenerose@ "mieux vaut la fin d' une chose que son commencement ". son original. 7 L'oppression rend insensé le sage, et les présents corrompent le coeur. 8 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. 9 Ne te hâte pas en ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des insensés. Références Croisées Galates 5:22 Chère@AngelKazadi, La fin d’une chose vaut mieux que son commencement, dit-on. Comme @peroluwara1 nous sommes nombreux à avoir cru aux aventures de Tshilombo ~ @NduwaMice Comme @peroluwara1 nous sommes nombreux à avoir cru aux aventures de Tshilombo ~ @NduwaMice Site De Rencontre En Corse Gratuit. Chapitre 7 Le caractère de plus en plus proverbial des chapitres qui suivent nous oblige à les considérer d’une manière beaucoup plus détaillée. Ce chapitre introduit un nouveau sujet que l’on pourrait intituler La conduite de la sagesse dans un monde tel que le péché l’a fait, c’est-à-dire au milieu de ce qui n’est que vanité, douleur et folie. Dans les v. 1-9, nous voyons qu’il y a dans ce monde des choses qui valent mieux que d’autres. Malgré tout le désordre et la ruine le sage s’appliquera à les rechercher et y trouvera son profit. Nous avons déjà constaté une pensée semblable au chap. 49-14. Ici les choses profitables sont beaucoup plus accentuées et se trouvent en opposition directe avec ce que le monde choisit ou préfère. Le sage se trouve nécessairement isolé dans un monde où règne la mort, fruit du péché. Mais cette scène elle-même lui offre des choses meilleures. Elles sont au nombre de sept, chiffre des choses complètes. 1° Mieux vaut une bonne renommée que le bon parfum». En Prov. 221, la bonne renommée parmi les hommes vaut mieux que de grandes richesses; ici elle est considérée des yeux de Dieu et vaut mieux devant Lui que l’huile parfumée dont étaient oints les sacrificateurs pour accomplir leur service Ex. 3023-33. C’est par là que commence l’activité du sage. 2° Et le jour de la mort que le jour de la naissance». Cette pensée fait suite au n° 1. Arriver au jour de la mort ayant réalisé une réelle consécration à Dieu vaut mieux que l’entrée dans le monde. Deux fois, dans la vie du sage, cette dernière lui avait fait désirer de n’être jamais né 43; 64, 5. 3° Mieux vaut aller dans la maison de deuil, que d’aller dans la maison de festin, en ce que là est la fin de tout homme; et le vivant prend cela à cœur». Dans ce monde où la mort domine, la maison où le deuil est entré vaut mieux que celle où règne la joie. Il convient au sage de fréquenter la première, car il s’y trouve en présence de la réalité, de la fin de tout homme, conséquence du péché qui règne dans le monde. Le vivant prend cela à cœur; il voit où aboutit tout le travail de l’homme sous le soleil; il ne nourrit pas des espoirs et des projets que la mort peut anéantir. 4° Mieux vaut le chagrin que le rire, car le cœur est rendu meilleur par la tristesse du visage. Le cœur des sages est dans la maison de deuil, mais le cœur des sots, dans la maison de joie». Assister au chagrin d’autrui, voir les larmes couler, rend le cœur meilleur, le dispose à la sympathie, le pousse à offrir des consolations. Il en est de même, non seulement pour celui qui voit souffrir, mais aussi pour celui qui souffre. C’est par la tristesse du visage que Dieu agit sur le cœur de l’homme pour lui faire trouver des choses meilleures. Disposé ainsi, le cœur des sages est dans la maison de deuil; c’est le lieu où les affections peuvent être en exercice. Le cœur des sots ne connaît rien de ces bénédictions; la joie d’un moment leur suffit. Qu’en restera-t-il? N’est-ce pas le texte même de l’Ecclésiaste? Celui qui mène le deuil est estimé bienheureux par le Seigneur, car il sera consolé Matt. 54; et, pour le chrétien une bénédiction descend sur lui de la part du Dieu de toute consolation, et cette consolation est éternelle 2 Thess. 216. 5° Mieux vaut écouter la répréhension du sage, que d’écouter la chanson des sots. Car comme le bruit des épines sous la marmite, ainsi est le rire du sot. Cela aussi est vanité». Les sages profitent des expériences qu’ils ont faites, pour conduire leur prochain dans le droit chemin. Ils ont acquis l’autorité pour reprendre et redresser. Il vaut mieux les écouter et en faire son profit que d’écouter la chanson des sots sons agréables à l’oreille, mais qui n’ont pas plus de sens que ceux qui les émettent. Le rire du sot ne dure pas; il s’éteint bien vite comme un feu d’épines sous la marmite; il ne bruit et ne flambe qu’un instant. Après, tout retombe dans le silence de la mort. Cela aussi est vanité. 6° Certainement, l’oppression rend insensé le sage, et le don ruine le cœur. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement». Il y a pour le sage deux dangers dans ce monde. D’abord l’oppression qui le rend insensé en le poussant à la révolte, quand il voit toutes les injustices qui se commettent sous le soleil cf. 41-3. Ensuite, danger plus grand encore, le don par lequel le cœur se laisse corrompre et pousser aux pires actions. Tels sont du reste toujours les deux moyens employés par Satan pour perdre les hommes la violence et la corruption ou la ruse. C’est pourquoi la fin vaut mieux que le commencement. Un cœur qui a eu affaire au mal sans colère et sans révolte, qui a refusé les présents et ne s’est pas laissé séduire, arrive vainqueur au bout de l’épreuve et telle était la fin que Dieu voulait produire1. 1 Telle est du moins l’explication de ce passage difficile que nous soumettons au lecteur chrétien. 7° Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. Ne te hâte pas en ton esprit pour t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des sots». Dans toutes ces épreuves, le sage a appris la patience; il ne s’est pas élevé devant le mal et contre lui. La patience est toujours humble, douce, paisible; elle sait souffrir; elle atteint les choses promises Hébreux 615. La patience est le caractère même du Christ. Celui qui est patient ne se hâte ni ne s’irrite. Merveilleux tableau de la vie du sage au milieu de circonstances, fruit du péché, et qui sont toutes faites pour provoquer sa colère, l’irriter ou le séduire. Il traverse un monde dont il connaît bien le caractère, n’y attend que souffrance, mais en est victorieux en suivant des principes diamétralement opposés à tout ce qui dirige les hommes. v. 10-12. Il n’est pas sage de dire que le temps passé était meilleur que le présent, chose que tous les hommes non pas les sages sont toujours portés à penser. Dire cela n’est pas la sagesse, car elle a un jugement clair sur l’état du monde, et ce serait en contradiction avec tout ce que le Prédicateur nous a appris quand il a prononcé le terrible mot Vanité» sur tout ce qui est sous le soleil depuis la chute. Si tout est perdu et corrompu, il reste une chose aussi bonne qu’un héritage, la possession de la pensée divine. Elle est profitable; elle met à l’abri, de la même manière que, dans l’ordre des choses humaines, les richesses mettent à l’abri. Elle est, de fait, la seule permanente richesse. Bien plus, elle est une source de vie pour celui qui la possède. Combien plus nous, chrétiens, pouvons-nous dire La sagesse fait vivre celui qui la possède», nous qui possédons Christ, la sagesse de Dieu I Cor. 124. v. 13, 14. Considère l’œuvre de Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu? Au jour du bien-être, jouis du bien-être, et, au jour de l’adversité, prends garde; car Dieu a placé l’un vis-à-vis de l’autre, afin que l’homme ne trouve rien de ce qui sera après lui». Le sage continue à se mouvoir au milieu d’un monde gâté par le péché. Il y rencontre l’œuvre de Dieu et le résultat du mal, qui ne peut être redressé et où les choses sont tordues par le péché 115. Mais ces choses tordues, Dieu les laisse subsister et en fait usage. Il a mis l’un vis-à-vis de l’autre le jour du bien-être dont l’homme est invité à jouir et le jour de l’adversité qui le porte à réfléchir. De cette manière, l’homme est laissé dans l’ignorance de ce qui sera après lui. Une pareille conclusion est pleinement d’accord avec le livre de l’Ecclésiaste où tout accès aux choses invisibles est caché à l’homme afin qu’il apprenne à voir la vanité des choses qui l’entourent et dont la chute de l’homme a entièrement troublé l’harmonie. Le v. 15 confirme ce que nous venons de dire J’ai vu tout cela dans les jours de ma vanité il y a tel juste qui périt par sa justice, et il y a tel méchant qui prolonge ses jours par son iniquité». Ces jours de vanité qui ont rempli la vie du sage l’ont amené à voir la contradiction absolue entre ce qui est tordu et ce qui, selon Dieu, aurait dû être. La justice du juste le conduit à la mort! N’est-ce pas comme une anticipation prophétique de ce que rencontrera Jésus lui-même? D’autre part il y a tel méchant dont l’iniquité prolonge les jours. La vue du Prédicateur est toujours limitée par ce qui se passe sous le soleil». Combien les Psaumes, par exemple, diffèrent de cette conception quand ils nous décrivent ce qui attend les méchants! Les v. 16-18 font suite à ce que nous venons de voir. Le Prédicateur avait parlé de justice et de méchanceté. Il montre maintenant qu’il peut y avoir excès dans les deux directions, et quelles en sont les conséquences. La mesure peut être dépassée quand il s’agit de justice et de sagesse. Ce n’est pas autre chose, dans ce cas, que l’orgueil qui nous fait exagérer ces vertus pour nous rehausser par elles; or l’orgueil va devant l’écrasement Pourquoi, dit le Prédicateur, te détruirais-tu?» — Mais on peut être méchant à l’excès une telle pensée est en accord avec ce Livre qui nous dépeint le monde tel que le péché l’a fait et ne substitue pas des principes nouveaux à ce désordre parce qu’il ne suppose pas une Révélation qui les introduise. Ici donc, l’excès de la méchanceté est considéré comme amenant sur l’homme la mort avant le temps fixé». Quel que soit le triste état du monde, il reste le théâtre du gouvernement de Dieu qui condamne tout excès dans l’homme et lui en fait porter les conséquences, surtout quand sa méchanceté se donne carrière. Combien cela est frappant dans l’état actuel du monde où la méchanceté de l’homme ne connaît plus de bornes. Cet état est le fruit de l’absence complète de crainte de Dieu Il est bon que tu saisisses ceci et que tu ne retires point ta main de cela; car qui craint Dieu sort de tout». Voici la troisième fois que le mot craindre Dieu», revient dans ce Livre voyez 314; 5, 7, comme la seule chose qui mette l’homme à l’abri du jugement. v. 19. Après avoir prémuni contre l’excès de sagesse, le Prédicateur en proclame hautement les mérites La sagesse fortifie le sage plus que dix hommes puissants qui sont dans la ville». Elle n’est pas seulement une source de vie pour celui qui la possède v. 12, mais le sage y trouve la force dont il a besoin. Il est gardé par elle contre les attaques de l’ennemi, plus qu’une ville par dix hommes puissants. Mais, v. 20-24, par la sagesse j’apprends à me connaître. Elle est d’origine divine et me fait savoir ce que Dieu même déclare Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas péché». Et cela concerne aussi bien le sage que les autres hommes. Le sage est-il le seul qui ait fait le bien? A-t-il écouté de faux rapports? S’est-il fait maudire par son esclave? Maïs, combien de fois lui-même n’a-t-il pas maudit les autres! Combien de fois, quand il a dit Je serai sage», la sagesse s’est enfuie loin de lui? Et comment réparer le mal produit par ce manque de vigilance? Aux v. 25-29, le Prédicateur raconte sa propre histoire, une histoire amère, en vérité! Il s’est appliqué, comme il l’a dit au commencement de son Livre 117, à rechercher la sagesse et à connaître que la méchanceté et la folie sont sottise et déraison. La tentation et la séduction sont venues à lui par le moyen de la femme 1 Rois 114, et au lieu de lui échapper, lui que Dieu avait si grandement favorisé, a péché et est devenu la proie de la séductrice. Il a été amené à la cruelle constatation, plus amère que la mort», qu’il n’y a pas une femme entre elles toutes» qui n’attire les convoitises comme des filets et des rets», et dont les mains ne soient des chaînes pour retenir captif celui qu’elle a saisi. Et même, quelle insigne rareté de trouver un homme sur la terre qui puisse venir en aide par sa sagesse ou son intelligence J’ai trouvé un homme entre mille, mais une femme entre elles toutes, je ne l’ai pas trouvée». — Seulement, si la recherche du sage l’a amené à ces désolantes conclusions, il en a retiré un profit Voici, j’ai trouvé que Dieu a fait l’homme droit; mais eux, ils ont cherché beaucoup de raisonnements» v. 29. L’homme sorti des mains de son Créateur, au commencement, était droit. Le Prédicateur a montré plus haut que la Création était belle 311, et que maintenant tout est tordu 115; 713. La ruine est survenue, non pas du fait de Dieu, mais du fait de l’homme Eux, ils ont cherché beaucoup de raisonnements». Tel a été le cas dans le jardin d’Éden quand la femme vit que le fruit de l’arbre était bon à manger et qu’il était un plaisir pour les yeux et que l’arbre était désirable pour rendre intelligent. Que de raisonnements! Et dès lors il en a toujours été de même. "Démas m'a abandonné, par amour pour le siècle présent, et il est parti pour Thessalonique… Prends Marc, et amène-le avec toi, car il m'est utile pour le ministère" 2 Timothée la vie, nous avançons toujours dans de bonnes ou de mauvaises directions. C'est pourquoi la question n'est pas de savoir si nous évoluerons, mais plutôt, dans quel sens allons-nous évoluer ? Dans ce passage, Paul nous parle de deux parcours opposés celui de Démas et celui de Marc. Considérons premièrement la vie de Démas dans un ordre chronologique les Écritures le mentionnent à trois reprises. La première fois, elles soulignent son statut de compagnon d'oeuvre de l'apôtre Paul "Epaphras, mon compagnon de captivité en Jésus-Christ, te salue, ainsi… Démas, Luc, mes compagnons d'oeuvre" 2 Timothée Démas avait bien commencé sa course mais il l’avait mal finie. Regardons maintenant Jean, surnommé Marc. La première fois qu'il nous est parlé de son ministère, c’est pour en évoquer son abandon "Jean, surnommé Marc, se sépara d'eux, et retourna à Jérusalem" Actes Quelle tragédie de commencer le ministère par un abandon ! Puis, par la grâce de Dieu, son cousin Barnabas "fils de l'encouragement" s'occupa de lui. Durant une dizaine d'années on n’entendit plus parler de Marc. Pourtant il revint sur le devant de la scène. Paul lui-même l'appela son compagnon d'oeuvre Philémon 24 ; 2 Timothée Paul a déclaré qu'il lui était "utile pour l'oeuvre du ministère". Autrement dit, malgré un mauvais départ, Marc acheva victorieusement sa course ! La Bible dit "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Ecclésiaste C’est une grâce que de bien débuter votre vie chrétienne, mais n'oubliez pas de tenir ferme en Christ jusqu’au bout. Une prière pour aujourd'hui Seigneur, tu ne méprises pas les petits commencements et tu n'éteins pas le lumignon qui fume. Aussi quel que soit mon état de ce jour, donne-moi la force d'aller jusqu'au bout. Amen. Vous avez aimé ? Partagez autour de vous ! Souvent, on est très encouragé pour débuter un projet ou une action. Toutefois, on a tendance à s'essouffler pendant la course... Dieu regarde pourtant au processus et à la fin de notre course plutôt qu'à son commencement. Tu souhaites en savoir plus ? Recevez gratuitement notre livre numérique "10 clés qui vous aideront à adorer Dieu dans votre quotidien" Comment mettre Dieu au cœur de sa vie, le Seigneur cherche des personnes qui l’adorent en esprit et en vérité. Ce livre aborde des thèmes comme la prière, la louange, les relations, le pardon, la foi... Cet ebook vous encouragera à aller plus loin avec Dieu. Votre adresse email sera uniquement utilisée par Rev’Impact pour vous envoyer votre newsletter. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment en utilisant le lien de désabonnement intégré dans la newsletter. Pour en savoir plus et exercer vos droits, prenez connaissance de notre Charte de confidentialité. Auteur Steve Rivière Stève rencontre le Seigneur en mars 2002 à l’île de la Réunion, il est marié à Sandrine et papa de 3 magnifiques enfants. Quelques temps plus tard, il expérimente l'une de ses premières plus importantes expériences spirituelles Dieu le réveille en pleine nuit et lui parle, de façon audible, concernant la mission qu'Il lui confie asseoir le Royaume de Dieu dans la profondeur des coeurs de ceux de la nation…» En 2006, son épouse et lui sont ordonnés Pasteurs puis en 2010 il reçoit de la part de Dieu, de mettre en place l’Ecole Biblique Destinée pour que tous les chrétiens puissent travailler à leur appel et entrer dans leur destinée. Il a reçu cette forte conviction, de libérer à partir de la vérité de la Parole; le potentiel qu’est Christ dans la vie des enfants de Dieu. Cette phrase "libère la destinée de mes enfants, car les solutions pour les maux de la société sont renfermées dans leur appel, leur destinée »; résonnait dans son coeur. Steve Rivière est enseignant et responsable de l’école Destinée. Il est aussi pasteur de l’église Destinee à l’île de la Réunion et l'auteur des livres "Progresse" et "L'Église destinée aux exploits". Passez sur autre article Newsletter Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les dernières nouvelles. Nouveautés Aujourd'hui Récents Populaires Aucun article pour le moment. Advertise EPIGRAPHE Parler est un besoin, écouter est un art. W. Goethe Savez-vous que c'est fort mal d'écouter ? C'est pourtant tout ce qu'il y a de mieux pour entendre. B. Marchais DEDICACE A mon père MBAMBI TSUMBU Nicolas ainsi qu'à ma mère NZAU MASSIMANU Rose pour m'avoir permis d'être classé parmi les intellectuels de notre pays. Nous dédions ce travail. REMERCIEMENT Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement, le présent travail sanctionne la fin de notre deuxième cycle au département des sciences de l'information et de la communication à l'Université de Kinshasa. Il est le fruit d'effort consentis pendant plusieurs années de sacrifice, de patiente et de persévérance pour se rendre à l'évidence de certaines réalités académique. Nous tenons à remercier de manière générale les professeurs de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines et ceux du Département des sciences de l'information et de la communication en particulier pour leur encadrement, et plus spécialement le Professeur MAZINGA Charles qui, malgré ses multiples tâches et occupations a bien voulu prendre en charge la direction de ce travail. C'est du fond de notre coeur que nous remercions les parents qui nous ont soutenus moralement et financièrement tout au long de notre parcours académique. Nous n'allons pas passer sous silence tous ceux qui de près ou de loin, nous ont aidé pendant la mise en oeuvre de ce travail Audry MATETA, Charly BONKIE, Fidèle HAYUZA, Oncle MASSIMANU Emmanuel, Oncle NIKOUNA Guy Richard, Oncle NDANDANI Adida, Ma grand-mère KUVELA Adèle, Cadet MBIYE ainsi qu'à Honorable Arthur TEKA. Nos sympathies vont également droit au coeur A la famille MBAMBI, Blaise MUANDA, Pamela DILENGA, Carmel LANDU, Fira KUVELA, Marco TSUMBU, Silamite KHUMBA et au spécial frère et ami Kevine MBAMBIBoating. A nos nièces et neveux Blessing BAZEMBA, Curtis MUANDA, Immaculée BONKIE. A nos compagnons de lutte Jean-Paul KATEMBWE, Manassée NGALULA, Reagan MBUYI, Hans WAYIZA, Junior TWENDELE, Joseph NGONGO, Réda NTAMBWE, Christelle MFITADI, Irvine KIDIADI, Laetitia YABALI. A notre entourage Junior NGANGA, Nado DINA, Plamedi MIANDA, Dieu KUKETA, Laure NKENGE, Simon VANGU, à tout les membres de l' le Triomphe, à la grande famille de la GENAT. Nous ignorons pas que ce travail ayant été rédigé par les humains n'échappe pas à la règle de l'imperfection, et sans réticences, vos remarques et critiques sont les bienvenues. Diego MBAMBI MBAMBI Ecclésiaste 78 vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit Bible catholique Crampon 1923Plans de lecture et de méditation gratuits en rapport avec Ecclésiaste 78

vaut mieux la fin d une chose que son commencement